Levez le pied
Il arrive parfois, en se promenant dans les rues de la capitale, que l'on découvre des petites choses qui changent de l'ordinaire. J'aime à errer dans les ruelles, revoir les vieilles pierres fidèles ou celles qui s'effritent et menacent de disparaitre.
C'est sans doute une trace de mon aristocratie de la rue, je fais le tour de la ville, le tour de mon domaine, afin de voir ce qui y a changé, ce qui y reste immuable, ce qui s'efface doucement.
Alors, forcément, je n'ai pu manquer ces petits écriteaux répartis dans une ruelle du dix huitième arrondissement, accessible seulement aux piétons grâce à quelques marches judicieusement disposées. Le rébus est réservé aux habitués du quartier, aux touristes perdus et au(x) régisseur(s) de la grande ville (sans oublier mes lecteurs).