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Ma vie, mon oeuvre
21 janvier 2008

Hymne à la Yoie

Krishna Sagar Narayan restait perplexe. Il continuait de réfléchir pendant la prière, tout en essayant de maîtriser la peur qui l'étreignait. Etait il malade ? Pendant le repas, il reprit ses pensées et son raisonnement. S'il était le seul malade, il verrait bien que tous ses compagnons ont une pastille blanche sur le front et il sortirait le premier jour. Mais s'il voit quelqu'un avec une pastille et que celui-ci n'est pas sorti la veille, c'est que ce dernier aussi voit quelqu'un avec une pastille et ça ne peut être que lui-même et nous sortons tous les deux le lendemain. Si j'en vois deux, il me faudra un troisième jour pour me décider, et ainsi de suite.

Heureux de sa déduction, il attendit. C'est pourquoi, quand le vingt quatrième jour Krishna vit sortir vingt quatre de ses compagnons, il se sentit rassuré, lui n'était pas malade.

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Commentaires
L
Glups !!!<br /> J'ai tenter de répondre sur le précédent article sans avoir lu ton dernier post qui est la réponse... <br /> Mais que je suis nulle !!!<br /> Bon je vais prendre une douche ça va peut être me réveiller ;-)
F
Alors là je suis larguée, même en lisant les deux billets... C'est trop, trop dur !
F
Ah ben voilà, j'ai la réponse...<br /> Ca tient moyen la route, quand même :s
F
Tu oublies le voeu de silence ! Cela étant... j'ai du mal à suivre le raisonnement. Je dois avoir une case qui manque du côté de la logique (j'en entends déjà certains suggérer "et pas que...")
M
Ils sont à la fois malins et pas tant que ça ces moines : même s'ils n'ont pas le droit de parler, ils auraient quand même pu se comprendre entre eux non ?! (et le médecin aurait pu leur dire qu'ils étaient malades !) (oui bon, je suis mauvaise joueuse...)
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