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Ma vie, mon oeuvre

24 juillet 2005

Mon grain de sable

Mon grain de sable
Il n'y a pas que Paris dans la vie. Il y a aussi Saint Denis. Hier, en allant traîner mes sandales, pas de bottes en cette saison, du côté du stade de France, j'y ai trouvé la plage. Bien sûr, la Seine ne traverse pas le terrain central, même si le canal...
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23 juillet 2005

Brume écossaise

Je n'aurais pas dû boire autant. Mais c'est à cause de la petite voix qui me parle tout le temps. Il faut la faire taire. Elle est là dans mes oreilles et puis la palais tout sec qui démange, juste un petit verre, seulement un , pour faire taire la petite...
21 juillet 2005

Citoyen, encore un effort

Ce soir, je pensais vous livrer une fantaisie de mon esprit, un jeu de mots et de pensées et puis, j'ai regardé Arte qui passait un film magnifique, Queimada. Je ne vais pas raconter le film ici, je vous ai glissé le lien qui vous permettra, avec des...
21 juillet 2005

Fier comme un petit banc

J'ai la joie, le bonheur, l'immense fierté, alors que je n'y suis pas pour grand chose, de pouvoir annoncer au monde entier que mon fils ainé viens d'être admis, par concours, à l'école polytechnique de Paris.Alors, ce soir, ça a été champagne, feu d'artifice...
20 juillet 2005

La politesse des rois

Au risque de passer pour un vieux grincheux, il y a tout un ensemble de choses qui me font râler surtout quand elles rentrent dans le cadre de rapports humains. Ainsi ce soir, après notre repas bloguesque, aux assiettes sans surprise ni charme mais au...
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18 juillet 2005

Au bonheur des larmes

Sous la pression de la mouette et du calou, je me plie à l'exercice dénumération des petits bonheurs. Pour commencer, je m'insurge contre cette dénomination; le bonheur ne saurait être petit, il est ou il n'est pas, c'est tout.Alors, pour le même prix,...
17 juillet 2005

Chacun sa croix

L'homme qui traverse la rue Saint Maur, puis la rue Darboy porte un pantalon de toile ocre, une chemise à manches courtes d'un blanc impécable et tiens deux sacs en papier épais avec des poignées en corde dans chaque main, deux marrons dans la main gauche,...
14 juillet 2005

Je ne me défilerai pas

Et c'est avec joie que les enfants lancent des pétards qui assourdissent nos jours et nos soirées, cherchant le lieu qui rendra le plus sonore possible l'explosion, affectionnant les cages d'escalier, les portes cochères, les poubelles renversées. Toutes...
13 juillet 2005

Pousse toi de là que je m'y mette

Je ne vais pas vous parler, à chaque fois que j'en suis témoin, de la goujaterie d'une frange non négligeable de la population, mais mon expérience matinale dans les transports parisiens ce matin mérite un petit mot ici même. J'emprunte, pour me rendre...
11 juillet 2005

Prenons et mangeons tous

Après les longues nuits d'hiver, voici venu les longues nuits d'été. Et il faut se dépécher d'en profiter avant qu'elles ne se soient trop raccourcies. Notre marmotte préférée nous propose de venir se joindre à elle pour une soirée causette, pas encore...
10 juillet 2005

Ô, rage

Un jour, un collègue facétieux m'a dit, le sourire aux lêvres, qu'on n'arrivait pas à me mettre hors de moi. S'il avait su, il n'aurait sans doute pas essayé. Je crois que je ne me suis mis en colère jusqu'à sortir de mes gonds, jusqu'à en perdre la tête,...
8 juillet 2005

Doute

Vous êtes vous déja demandé, après avoir entrepris une action importante, si vous aviez bien pensé à tous les détails, à tous les événements prévisibles et mêmes les autres ? Vous est il déja arrivé d'être complètement dépassé par vos actions au point...
4 juillet 2005

L'annonce faite à Paris

J'aurai dû boire. L'apéro était à peine alcoolisé et je me suis contenté pour une bonne partie de la soirée, d'écouter ce qui se disait. Je regardais notre petit groupe, cinq amis de la musique, quatre filles un gars, dissoudre doucement leur groupe dans...
4 juillet 2005

Chez moi

Chez moi
Chez moi, c'est ici:
3 juillet 2005

Mi figue, mi raisin

La journée commençait mal. Ma nuit avait été courte à cause d'un endormissement tardif et un réveil à cause d'un mal de ventre violent. Puis, il y a eu ce rendez-vous raté. j'ai attendu en vain à la station de métro mes marcheurs qui ne m'ont pas prévenus....
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