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Ma vie, mon oeuvre
8 septembre 2006

A bon entendeur

Les conditions de travail de certains sont pire que l'on puisse imaginer.
Comme Gilda et Kozlika, je relaie ici un billet  que je vous invite à lire, un témoignage comme on aimerait ne plus pouvoir trouver dans l'avenir.

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Commentaires
C
Peut être est ce film : QUEIMODO, "détails" sur<br /> http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=14313.html
R
Je suis allée lire ce récit effroyable... Encore froid dans le dos...
B
Lilou> Malheureusement, l'expérience montre que les conditions de travail ont tendance, ces derniers temps, à plutôt se dégrader que s'améliorer. Pourquoi se priver quand il y a suffisament de chômeurs pour remplacer les râleurs ?<br /> <br /> Gilda> Merci pour tout.<br /> <br /> Canthilde> Le terme me semble assez juste, quoique le prolétaire est celui qui transforme la matière première, ce qui n'est pas tout à fait le cas ici. Mais le mot permet de recadrer les choses.<br /> <br /> Fillalavanille> Comme tu dis, c'est de l'esclavage déguiser. Je repense à chaque fois à ce personnage joué par Marlon Brando (Olivier donnera le titre du film qui m'échappe pour le moment) qui explique que l'ouvrier salarié est plus rentable qu'un esclave qu'il faut entretenir jusqu'à la mort, nourrir et soigner. Nous en sommes là.
F
Le lien remarche, effectivement. <br /> Le lien fait peur. On se croirait dans un film : la conspiration, la manipulation, tout est bien réfléchi, bien pensé, pas de fuite, l'engrenage est bien huilé. <br /> Ce n'est pas la première fois que je tombe sur ce genre de témoignages. Ca me fout en l'air à chaque fois. <br /> Peut être un jour l'esclavage cessera...
C
Quelqu'un a un jour prononcé un terme devant moi que je répète avec joie tellement il est juste : c'est le cyberprolétariat ! Du travail à la chaîne tertiaire. Moins dur que le travail en usine automobile, pensez-vous ? Disons que l'usure se limite à des points bien précis : le poignet droit qui décroche et tape sur l'ordi, la gorge sèche à force de parler (une fontaine d'eau est obligatoire ! et personnellement je me serais cassée surle champ si on m'avait interdit de garder une bouteille d'eau avec moi...), la fatigue nerveuse de répéter les mêmes phrases. A part ça, il faut croire que je suis d'une patience à toute épreuve depuis le temps que je fais ce genre de boulots !
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