CO-MU-NI-QUER !
Je n'écris plus beaucoup et, du coup, je n'avais pas repéré que mon billet précédent était placé sous le signe de la bête, étant le six cent soixante sixième de ma collection. Mais pour en revenir au sujet qui me préoccupe, pourquoi ce ralentissement dans mon activité ? Est-ce que l'hiver qui commence à se faire sentir gèle autant mes pauvres neurones que les pavés de nos rues ? Ne serait ce pas aussi dû à une certaine jalousie à la lecture de votre prose qui me tétanise, qui me fait trouver la mienne tellement vaine ? Peut être devrais me contenter de présenter quelques photos de temps en temps, même si la vue de certaines me rendent également terriblement jaloux, envieux de talents que je n'ai pas.
Pourtant, ce n'est pas les choses à raconter qui me manquent, comme ma fin de semaine passée à Londres, trois jours à arpenter les rues des quartiers touristiques ou non, à parcourir les allées des musées, à me promener le nez en l'air sans penser à autre chose que le moment présent et celle avec laquelle je le passais.
Alors, c'est promis, je retire mon casque et mes œillères pour revenir vite vers vous.