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Ma vie, mon oeuvre
27 août 2005

V comme...

Continuons sur notre lancée de l'exploration des mots aux sonoritées moelleuses.
Je vous rappelle qu'il s'agit d'en deviner le sens, ou de l'inventer en s'inspirant du son de notre mot, de l'utiliser dans une phrase pour le mettre en situation.
Pour aujourd'hui, je vous propose le verbe Varloper.

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Commentaires
B
Mouette rieuse> J'en ris encore. D'autant plus que je suis parti galoper dans le var et à côté.<br /> Fuligineuse> C'était pour éviter ce genre de problème que j'avais proposé le verbe et non le substantif.<br /> Gilda> Même pas drôle!
G
Mon grand-père maternel, charron de métier et menuisier à ses heures, ne dédaignait pas d'utiliser une demi-varlope quand la pièce de bois à travailler nécessitait quelque force et de la précision.<br /> Je n'en ai hélas jamais retrouvé trace lorsqu'à son décès nous vidâmes sa maison et dû me contenter mais non sans émotion d'un rabot tout simple et de long usage.<br /> <br /> (eh oui, c'est moins drôle que tout ce qu'une fin en "ope" pouvait laisser supposer)
F
A l'évidence, le verbe varloper signifie séduire sans avoir l'intention de donner suite, en somme se conduire comme une allumeuse (NB : pourquoi ce terme n'a-t-il pas de masculin ? les femmes n'ont pas le monopole de ce type de comportement...)
M
Quand dans le Var<br /> Je pars galoper<br /> Plus sobrement<br /> Je vais Varloper.
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