Vue d'ensemble vue d'ici
Et avec tout ça, je ne vous ai pas encore raconté mes vacances italiennes, ses déambulations, ses villes, ses visites et sa gastronomie.
Il y eut d'abord Florence, la belle, la grande, la meurtrie aussi par une gigantesque inondation en 1966 dont elle garde encore les stigmates (certains repères dans la rue montrent une ligne plus de trois mètres au dessus du niveau du sol), avec sa cathédrale grandiose et son musée des offices dont j'aurai sûrement l'occasion de vous reparler.
Il y eut aussi Sienne la magnifique qui s'appuie sur plusieurs collines qui lui permettent d'avoir une magnifique place en forme de coquillage et des touristes fatigués par les montées et descentes successives.
Il y eut également San Giminiano l'élancée, petite ville très proche de ce qu'elle fut quatre ciècles auparavant, garnie de tours défiant le ciel et les familles les plus riches et de son dôme couvert de fresques.
Il y eut même Lucca la grandiose, truffée d'églises plus hautes, plus grandes, plus décorées les unes que les autres, laissant supposer à tort qu'il y en avait une par habitation, entourée de fortifications devenues jardin que l'on peut parcourir à pied, offrant un point de vue inégalable sur la vielle ville.
Il y eut, pour finir, Pise la glorieuse avec le spectacle ébouriffant, bien que de nombreuses fois montré, caricaturé, pastiché, de sa tour penchée accompagnée d'une cathédrale magnifique aux dimensions titanesques, d'un baptistère et d'un cimetière fermé, iluminée de lumière, d'une blancheur éblouissante.
Il me faudra vous reparler de ces villes car je risquerait à trop en parler en une seule fois de saturer vos yeux de beautés et de finir par vous lasser alors que je n'ai qu'envie de vous donner l'envie d'y aller voir par vous même.
Alors, nous commencerons par Florence... la prochaine fois.