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Ma vie, mon oeuvre
26 mai 2008

Rome, première aventure

IMG_1614Le voyage semblait bien commencer; le taxi est arrivé en même temps que nous en bas de l'immeuble à cinq heures, le vol était à l'heure, sans encombre et le soleil nous attendait au bas de l'avion. Il ne nous restait plus qu'à rejoindre notre lieu de villégiature dont le mode d'accès m'avait été envoyé via internet : "Une direction Rebibbia prend la ligne de Bon mètre(métro). Baissez dans l'arrêt Pietralata. Une fois là prend l'autobus 211 une direction Monte Cimone (un soin bien qu'il ne le prend pas dans une direction contrariée). Descendez dans l'arrêt Eurospin Supermarket (cinq arrêts Sont seuls, mais en cas d'un doute demandez le conducteur)."

J'ai béni les traducteurs automatiques et la bonne idée du propriétaire d'avoir envoyé également le texte en anglais, ce qui nous permis d'arriver sans véritable encombre, à part le bus pris dans la mauvaise direction, au pied de l'appartement. Sauf que nous avions beau appuyer sur le petit bouton de l'interphone correspondant, personne ne se montrait. Je commençais à râler, d'autant plus que j'avais pris la peine de téléphoner depuis Paris pour confirmer le jour et l'heure d'arrivée.

Une seule possibilité, téléphoner à la personne en question. Je cours vers le premier tabac rencontré pour acheter une carte téléphonique, une cabine trônant à sa porte. Pas de carte; il m'envoie vers un commerce spécialisé en téléphones en tout genre. Fermé. Définitivement. On m'envoie au tabac le plus proche où je finis par trouver une carte téléphonique, la moins chère possible, pour ce coup de fil salvateur.

Je retourne à la cabine qui, bien sûr, ne fonctionnait pas, et je n'en avais pas vu d'autres.

Je suis donc allé pleurer tout mon italien dans le premier café, tentant de faire comprendre le désarroi dans lequel me mettait ma situation, bien arrivé mais à la porte. Heureusement, je ne dois pas trop mal me faire comprendre et il connaissait le loueur. Il a composé son numéro, prévenu de notre présence et m'a transmis qu'on envoyait quelqu'un pour nous ouvrir.

Notre premier café de la journée, le vrai café italien qui tient dans une petite cuillère, fut pris chez lui; il nous avait retiré une sacré épine du pied et les vacances pouvaient commencer.

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Commentaires
E
superbe photo !!!
C
Tout d'abord , et si tu avais commandé un thé vert ? <br /> <br /> Et je pense à la même anecdote , où voulant montrer son aisance espagnole, de l'autre côté de la frontière, le café express s'était transformé en chocolat chaud ..... Hum. <br /> <br /> Appart italien comme à Venise? Grandes baies vitrées, escalier d'époque, couloir au sol dallé ? <br /> Tu connais le film "Un homme amoureux" ? à voir . <br /> C'est mon instant "amoureux". <br /> Co.
F
Ouf cela s'est arrangé. Grâce à ta débrouillardise ! Tu l'as bien mérité ton café.
L
et ben, heureusement qu'il y a le café pour requinquer.
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